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Effluvium physiologique

Il consiste en une chute simultanée de nombreux cheveux, principalement à l’automne et au printemps.

Afin de s’adapter aux changements climatiques lors des changements de saisons (température, hygrométrie, ensoleillement), notre organisme subit d’importantes variations hormonales.

L’effluvium physiologique saisonnier dure de 4 à 6 semaines maximum. Au-delà, la chute peut devenir chronique.

Chez  la femme, en cas de grossesse :

Une chute de cheveux est possible pendant les premiers mois, ensuite la femme enceinte est protégée par son état contre la chute naturelle des cheveux.

Une chute réactionnelle peut se produire après l’accouchement, le taux d’œstrogènes va subitement diminuer, entraînant souvent une chute massive et simultanée des cheveux. Cette chute peut-être décalée de quelques semaines à quelques mois en cas d’allaitement.

On peut voir également des chutes diffuses d’origine médicamenteuse.

Les pilules contraceptives, mal adaptées, peuvent jouer un rôle important dans les risques de chutes de cheveux. L’arrêt, ou la reprise de la pilule peuvent également modifier la croissance naturelle des cheveux.

L’évolution alopécique la plus courante chez les femmes se traduit par un amincissement progressif et non cicatriciel des cheveux.

Il se produit une miniaturisation folliculaire entraînant un affinement des cheveux allant dans certains cas jusqu’au duvet. Au cours des cycles successifs des cheveux, la durée de la phase anagène (phase de croissance) raccourcit d’une durée normale de quelques années à quelques mois ou quelques semaines.

On observe alors une alopécie androgénétique féminine. Les premiers signes peuvent se développer dès l’adolescence et s’accentuer avec l’âge.

L’alopécie androgénétique féminine diffuse est très fréquente. On parle alors de calvitie féminine banale. Elle concerne une femme sur cinq à l’âge de 40 ans et entraîne un préjudice esthétique très variable en fonction de son intensité.